Tirs envers Trump : on ne parvient pas à cerner l’auteur sur les réseaux sociaux, alimentant ainsi les théories conspirationnistes

Attentat contre Donald Trump

Un faux attentat, avec une oreille en plastique et du faux sang. Un attentat sous fausse bannière, en réalité commandité par le Mossad israélien. Un tireur qui serait un agent du deep state, « l’Etat profond », acquis aux démocrates, possiblement programmé par le programme MK-Ultra de la CIA…

Théories du complot

Depuis samedi 13 juillet et l’attentat contre Donald Trump lors d’un meeting à Butler (Pennsylvanie) qui a fait un mort, deux blessés grave et blessé l’ex-président républicain à l’oreille, des dizaines de théories du complot ont émergé. Que celles-ci aient pour l’objet les motivations ou le profil de l’auteur des tirs, Thomas Matthew Crooks, 20 ans, abattu par le Secret Service peu après avoir ouvert le feu.

Précédents de théories complotistes

Jusque-là, rien que de très classique : après chaque fusillade ou attentat aux Etats-Unis, des théories complotistes plus ou moins fantaisistes et contradictoires font leur apparition en ligne. C’était le cas après la tuerie de Sandy Hooks, en 2012, durant laquelle vingt enfants avaient été tués ; le conspirationniste américain Alex Jones a affirmé sans preuve aucune, durant des années, que celle-ci n’avait jamais eu lieu…

Réseaux sociaux et désinformation

YouTube, notamment, avait drastiquement changé le fonctionnement de sa partie « actualité ». Ce week-end et lundi, le site de vidéos a ainsi relégué les vidéos les plus délirantes loin dans ses résultats de recherche. A l’inverse, sur X comme sur Facebook, les recherches les plus basiques font apparaître des messages affirmant à tort que Donald Trump est entre la vie et la mort, ou que Thomas Matthew Crooks était un militant d’extrême gauche, ce que rien n’indique à ce stade.

[Insert image here if applicable]


Comments

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *