Les rebondissements de la vente de l’hebdomadaire Marianne
La vente de l’hebdomadaire Marianne, officialisée en avril par Denis Olivennes, continue de cumuler les rebondissements. Après l’échec des négociations exclusives avec le groupe Otium, le groupe CMI France cherche de nouveaux acquéreurs pour assurer l’indépendance éditoriale et la pérennité économique du titre.
Les tensions internes à la rédaction
La rédaction de Marianne s’était mise en grève en s’opposant à la vente du magazine à Pierre-Edouard Stérin, notamment en raison de ses liens avec Marine Le Pen et son intention de soutenir des candidats aux législatives sous la bannière du RN LR. La question de l’opposition au rachat avait divisé la rédaction, avec une majorité estimant que les garanties d’indépendance obtenues suffiraient à protéger le journal.
Les alternatives à la vente à Pierre-Edouard Stérin
Jean-Martial Lefranc se présente comme un plan B crédible pour la reprise de Marianne. Il a tenté de rassurer sur sa surface financière et son projet éditorial lors de rencontres avec la directrice de la rédaction et des représentants de la SRM.
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