Les élections rurales face à la montée de l’extrême droite
Lors des dépouillements aux élections législatives anticipées, il leur a fallu, de nouveau, répéter le nom d’un candidat du Rassemblement national (RN) des dizaines de fois. Ils étaient déjà passés par là en 2022, en 2017… Avec, à chaque fois, davantage de voix qui s’agrègent. La montée de l’extrême droite, voilà des années que les maires ruraux la subissent et tentent de l’endiguer.
La fracture entre le local et le national
Maire socialiste de Bram, 3 300 habitants, dans le Lauragais audois (Aude), Claudie Faucon Mejean ne s’habitue pas. Certes, le parti de Marine Le Pen a raté la dernière marche du pouvoir. Mais dans son département, terre viticole historiquement très à gauche du Midi rouge, les trois députés RN sortants ont de nouveau fait le grand chelem.
Les défis des maires ruraux face au vote national
« C’est raide, vraiment raide. J’ai versé quelques larmes », raconte-t-elle. Réélue maire depuis 2011, l’édile est frappée par le fossé qui se creuse entre le local et le national.
La quête de solutions pour le vivre-ensemble
Les maires ruraux se disent désemparés, ne sachant comment aborder la situation avec leurs administrés. Ils tentent de trouver les mots pour que ces derniers puissent prendre de la distance et revoir leur vote.
La lutte pour le mieux-être des citoyens
Bien placée pour parler de la « concurrence des misères » qu’instrumentalise le RN dans un département qui compte parmi les plus pauvres de France, l’élue ne ménage pas ses efforts pour améliorer le quotidien avec les moyens disponibles.
*Image:* [Insert image related to rural elections and politics]
Please note that the above paragraphs are a rewritten version of the provided article.
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