Hubert-Julien Laferrière mis en examen pour corruption et trafic d’influence
L’ancien député du Rhône Hubert-Julien Laferrière a été mis en examen pour les chefs de « corruption passive » et « trafic d’influence passif en bande organisée par un élu public». Il est soupçonné d’avoir touché des rémunérations en échange de prises de parole publiques, y compris à l’Assemblée nationale.
Les autres accusés dans l’affaire
Jean-Pierre Duthion, lobbyiste, et Rachid M’Barki, ancien journaliste de BFMTV, ont également été mis en examen dans ce dossier pour divers chefs d’accusation liés à la corruption et au trafic d’influence.
Les ramifications de l’enquête
L’affaire est née des révélations du Monde, de Radio France, de Forbidden Stories et de partenaires internationaux, notamment sur le rôle du lobbyiste Jean-Pierre Duthion et de Rachid M’Barki dans des campagnes d’influence en France.
Les liens controversés avec le Qatar
Hubert Julien-Laferrière est notamment soupçonné d’avoir entretenu des liens avec le Qatar, en faveur duquel il aurait pris des positions publiques à l’Assemblée nationale. Il aurait été rémunéré via des fonds provenant d’une ambassade qatarie et d’un organisme d’État qatari.
Réactions et non-représentation aux élections
Hubert-Julien Laferrière a fermement nié les accusations portées contre lui. Il a décidé de ne pas se représenter aux élections législatives, se consacrant désormais à la protection des grands singes, sa passion secrète.
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