The prisoner exchange between the West and Russia, a bittersweet diplomatic achievement

Un échange historique

Durant une journée, l’aéroport d’Ankara a été le théâtre d’un échange de prisonniers rappelant les grands moments du fameux « pont des espions » de Berlin. Vingt-six personnes de sept pays différents ont participé à cet échange, le plus important depuis la chute de l’empire soviétique.

Libération de prisonniers

Seize des vingt-six prisonniers libérés étaient détenus en Russie et en Biélorussie, parmi lesquels se trouvait le journaliste américain Evan Gershkovich. Sa condamnation à seize ans de prison en Russie pour espionnage a ouvert la voie à cet échange historique.

Les protagonistes

Outre Gershkovich, d’autres personnes libérées comprenaient l’ancien sous-officier des marines américaines Paul Whelan et la journaliste américano-russe Alsu Kurmasheva, tous deux accusés d’espionnage. Des opposants à Vladimir Poutine ont également été libérés dans le cadre de cet échange.

Obtention des demandes de Poutine

En échange des prisonniers libérés, Vladimir Poutine a obtenu la libération de l’agent russe Vadim Krassikov, condamné en Allemagne pour un assassinat commis à Berlin. Le président russe avait longtemps évoqué le cas de Krassikov, qu’il considérait comme un “patriote”.

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