Accusations de Corruption dans le Processus Électoral
Trois candidats à l’élection présidentielle en Algérie ont été placés sous contrôle judiciaire pour des accusations de corruption politique. Parmi eux se trouvent Saïda Neghza, Belkacem Sahli et Abdelhakim Hamadi.
Enquête sur les Parrainages Achetés
Les candidats ont été accusés d’acheter des parrainages d’élus pour valider leurs dossiers de candidature à travers des pratiques de corruption. Ils ont évité un mandat de dépôt après leur audition par un juge du pôle pénal économique et financier.
Soupçons sur l’Intégrité du Processus Électoral
Des élus locaux et des intermédiaires sont également poursuivis pour corruption liée à la collecte des signatures nécessaires pour les candidatures à l’élection présidentielle. Des enquêtes ont été ouvertes pour divers délits liés à ces pratiques illégales.
Candidats Retenus et Contestations
Seuls trois dossiers de candidature sur seize ont été retenus par l’Autorité nationale indépendante des élections. Ces décisions ont suscité des contestations, notamment de la part de Saïda Neghza qui avait remis en question l’intégrité du processus électoral et des signatures recueillies par d’autres candidats.
Contexte Politique Tendu et Controverses
La candidature de Saïda Neghza, déjà critique envers le régime en place, a ajouté de la tension à un climat politique déjà complexe. Les accusations de fraude électorale et de pressions sur les élus ont soulevé des questions sur la transparence du processus électoral en Algérie.
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