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La cérémonie de clôture au Stade de France
Après la déambulation au fil de la Seine pour la cérémonie d’ouverture, la musique a retrouvé ses quartiers – du moins quand il s’agit des plus grandes stars domestiques ou internationales – pour celle de clôture, avec le Stade France de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) pour cadre. Cette fois, pas de vedette du calibre de la Québecoise Céline Dion, qui avait rechanté le 26 juillet pour la première fois depuis 2010 en public, en rendant hommage à Edith Piaf avec Hymne à l’amour.
La performance de Zaho de Sagazan
Là, c’est à la jeune (24 ans) Zaho de Sagazan – en pleine ascension depuis le triomphe, en février, de son premier album, La Symphonie des éclairs, aux Victoires de la musique – qu’a échu la responsabilité de perpétuer l’héritage de la chanson française. Ce qu’elle a fait de façon simple et convaincante devant la vasque olympique au jardin des Tuileries à Paris, point de départ de la flamme, en s’associant avec naturel à l’Ensemble Matheus de Jean-Christophe Spinosi et le chœur de l’Académie Haendel-Hendrix.
Les performances musicales de la soirée
Leur relecture vive de Sous le ciel de Paris, un des plus célèbres hymnes à la capitale, a été le seul moment un peu surprenant d’une soirée où on aura surtout entendu les musiques des deux complices du metteur en scène Thomas Jolly, Victor Le Masne et Clément Mirguet.
Créations musicales variées
La production originale pour cette cérémonie, sous la baguette de Zahia Ziouani dirigeant son orchestre Divertimento, oscillait entre néodisco et générique d’émission de variétés à l’ancienne. Clément Mirguet, sa création pour le tableau futuriste « Records » s’apparente à ce que l’on peut entendre en accompagnement des jeux vidéo.
La séquence French touch
Avec le groupe Phoenix pour son répertoire ou en accompagnant ses amis d’Air sur Playground Love, chanson extraite de la bande originale de Virgin Suicides (1999), le film de Sofia Coppola.
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