In Myanmar, an ethnic insurgency deals a fresh blow to the military dictatorship

La prise de la ville de Lashio

La ville de Lashio, le 3 août, dans le nord-est de l’Etat Shan en Birmanie, par l’un des groupes armés ethniques en guerre contre la junte birmane, a marqué une nouvelle étape dans l’affaiblissement du régime birman.

Les combats et les conséquences

Les combats ont été sanglants : une vidéo prise par les Kokang montre l’entrée de leurs troupes dans le QG de l’armée, où des cadavres jonchent les allées. L’hôpital militaire aurait également subi une attaque.

Les réactions de la junte birmane

La junte birmane a organisé des manifestations à Naypyidaw, la capitale, et à Rangoun, où ses partisans ont brandi des pancartes montrant des images de victimes présumées de l’hôpital de l’armée à Lashio.

Le discours du général Min Aung Hlaing

Le général Min Aung Hlaing a condamné la reprise des combats par les Kokang et leurs alliés, appelant au ralliement derrière la Tatmadaw, les forces armées birmanes.

Les réactions au sein de son camp

Au sein de son camp, la grogne à l’égard du général Min Aung Hlaing a recommencé à se faire entendre, avec des accusations d’envoi de soldats à la mort sans stratégie.

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