Le démenti de la présidence ukrainienne
Le conseiller de Volodymyr Zelensky, Mykhailo Podoliak, qualifie les accusations de sabotage des gazoducs russes Nord Stream en 2022 de « non-sens absolu ». Il souligne que de telles actions n’auraient aucun intérêt pour l’Ukraine et que seuls la Russie posséderait les ressources nécessaires pour mener à bien une telle opération.
Les allégations du Wall Street Journal
Selon le Wall Street Journal, le sabotage aurait été approuvé au plus haut niveau à Kiev, y compris par le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Le journal américain affirme que l’attentat a été supervisé par le commandant en chef de l’armée ukrainienne de l’époque malgré un revirement ultérieur de Zelensky.
Les détails de l’opération de sabotage
Le plan de sabotage aurait émergé lors d’une réunion en mai 2022, impliquant six personnes pour un coût estimé à 300 000 dollars, financé par de l’argent privé. Bien que Zelensky ait initialement approuvé le plan, son ordre d’arrêt a été ignoré par le commandant en chef de l’armée ukrainienne de l’époque.
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Réactions et enquêtes en cours
Après le sabotage, Zelensky aurait demandé des explications à l’implication de l’ancien commandant en chef de l’armée ukrainienne. Les médias allemands se montrent prudents quant à l’implication des autorités ukrainiennes, avec certaines sources mettant en cause Valeri Zaloujny mais tentant de disculper Zelensky.
Contribué par Le Monde avec AFP et Reuters.
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