La découverte de la Bretagne
Une cohorte de silhouettes arc-boutées sur le sable pêchent à pied entre les amers – coques, palourdes, moules, couteaux. Au loin, Houat et Belle-Ile se dessinent dans la brume qui s’enfuit.
Les souvenirs d’enfance d’Alain Cochevelou
Lorsque Alain Cochevelou a découvert ce rivage pour la première fois, il était âgé de 5 ans en 1949. Il se rappelle l’odeur mélangée des algues, des cyprès, des hortensias, et la beauté du paysage qui l’a marqué profondément.
La passion pour la musique bretonne
Alain Cochevelou, devenu Alan Stivell pour monter sur scène, a joué un rôle majeur dans la renaissance de la musique bretonne à travers la harpe celtique. En introduisant la modernité dans son folk, il a contribué à sortir l’identité bretonne du placard où elle était reléguée.
Le legs musical de la famille Cochevelou
Avant Alain, il y a Georges, son père, un touche-à-tout de génie qui a entrepris de construire une harpe celtique disparue depuis le Moyen Âge. La passion de la musique et de la tradition bretonne a été transmise de génération en génération au sein de la famille Cochevelou.
Le début d’une carrière musicale précoce
Alain Stivell a commencé à exceller dans la musique dès son enfance. À 9 ans, il a fait ses débuts à la Maison de la Bretagne à Paris, et à 13 ans, il s’est produit à l’Olympia en première partie d’un concert de Line Renaud. Sa carrière musicale prometteuse a débuté très tôt.
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