Drug trafficking: In Grenoble, the resurgence of the “gang warfare”

La montée de la violence à Grenoble

Cinq fusillades liées au trafic de drogue en deux semaines ont secoué Grenoble, laissant une dizaine de personnes blessées. Depuis fin juillet, la ville est le théâtre d’une série d’échanges de tirs intenses, qualifiée de “guerre des gangs” par le procureur de la République Eric Vaillant. La première fusillade a eu lieu le 30 juillet à Echirolles, dans un immeuble réputé pour être un point de deal majeur.

Violence récurrente dans les quartiers

Plusieurs autres fusillades ont suivi dans les quartiers sensibles de Grenoble et d’Echirolles, connus pour leurs affrontements et règlements de comptes fréquents. Des incidents ont impliqué des individus venus de la région parisienne pour vendre des armes, causant des blessures à des jeunes hommes locaux.

Crise exceptionnelle et réactions des autorités

Une fusillade particulièrement violente le 12 août à Echirolles a provoqué plusieurs blessés, dont un grièvement. Le procureur Eric Vaillant souligne la densité inhabituelle des affrontements, qualifiant la situation d’quasi inédite. La maire d’Echirolles, Amandine Demore, exprime sa préoccupation quant au manque de moyens déployés pour lutter contre le trafic de drogue.

Causes possibles de cette escalade de violence

Plusieurs facteurs pourraient expliquer la montée de la violence, notamment la mort d’un important trafiquant de drogue local, Mehdi Boulenouane, abattu en région parisienne. Les tensions entre gangs semblent s’être intensifiées suite à cet événement.


Comments

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *