Les accusations et l’identité des pirates
Trois Iraniens agissant pour le compte des gardiens de la révolution, le bras armé du régime de Téhéran, sont poursuivis aux États-Unis pour le piratage informatique de la campagne de Donald Trump. Les pirates Masoud Jalili, Seyyed Ali Aghamiri et Yaser Balaghi sont présentés comme des cyberpirates chevronnés impliqués dans une opération complexe depuis janvier 2020.
Les cibles des cyberattaques
Les pirates ont visé différentes institutions et individus aux États-Unis, y compris des membres de la Maison Blanche, du Conseil de la sécurité nationale, du ministère de la Défense, de la CIA, des journalistes, des ONG, des think tanks et du personnel de l’ONU. Le document d’inculpation révèle une vaste opération aux multiples objectifs.
Les implications politiques
Les pirates ont prêté une attention particulière à la campagne de Donald Trump, dérobant des informations sur la préparation du débat présidentiel et les potentiels colistiers. Une partie de ces données a été transmise à la campagne de Joe Biden. Ces actions soulignent l’intérêt croissant des pirates iraniens pour la politique américaine.
Les réactions et les sanctions
La justice américaine réaffirme le pouvoir de nuisance des pirates iraniens et souligne les efforts de l’Iran pour semer la discorde dans le système électoral américain. Le gouvernement américain, par le biais de Merrick Garland, met en garde contre les ingérences étrangères et confirme que c’est le peuple américain qui décide des élections. Des sanctions ont été annoncées contre les personnes impliquées dans ces opérations illégales.
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