Surveillance par caméra : un document atteste d’une exploitation illégale du programme BriefCam par les forces de l’ordre en 2023

Enquête sur l’utilisation illégale de BriefCam

L’enquête interne portant sur l’utilisation illégale du logiciel d’analyse des flux vidéo BriefCam par la police a révélé des pratiques d’achat et de déploiement des outils technologiques controversées. L’article de Disclose met en lumière l’usage illégal du logiciel depuis 2015, incluant la reconnaissance faciale interdite en France.

Rapport de l’enquête interne

À la suite de l’article, une enquête interne a été ordonnée par le ministre de l’intérieur. Le rapport, réalisé par des membres de l’inspection générale de l’administration et des hauts gradés de la police et de la gendarmerie, souligne une utilisation illégale de la reconnaissance faciale de BriefCam lors des émeutes de l’été 2023, malgré l’absence de conséquences majeures.

Conclusion sur l’achat et déploiement de BriefCam

Le rapport met en lumière les pratiques opaques entourant l’achat et l’utilisation de BriefCam. Des lacunes telles que la méconnaissance de la solution numérique et un déploiement incohérent soulèvent des questions sur la pertinence de l’investissement dans un logiciel coûteux.

(Note: As the original article did not contain any images, there are none included in this rewritten version.)


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